La salle des contes -- By Kila

Donc voila, je suis un RPiste et je vous mettrais ici mes RP

Le premier assez court :

Caché derrière un buisson, l'homme attendait sa proie. Ne la voyant pas arriver, il se déplaça sans bruit vers un muret puis un véhicule militaire abandonné. Il louvoyait entre les obstacles naturels du terrain de manière à se rapprocher au maximum de l'endroit où il pensait trouver sa proie.
Il était sniper et même l'un des meilleurs. Pour le moment, son score était de 97,4% de réussite. Le 100% n'avait pas été atteint, une cible avait réussi a lui échapper et le délai du contrat était arrivé à expiration avant qu'il ait réussi a remettre la main sur sa cible. Il en rageait encore.
Il était maintenant 16h30, il fallait qu'il se dépêche. Il ne voulait pas rester toute la nuit pour gagner ce duel. La cible n'arriverait pas a le tuer, mais lui y atteindrait sûrement son but.

Tout a coup, sur la gauche, il vit quelque chose bouger. C'était lui, son ennemi, sa cible, l'homme à abattre. Apparemment, il n'était pas décidé à se laisser faire et effectuait le même louvoiement entre les obstacles que lui-même quelques minutes auparavant. Il était aussi armé, un AK47 sûrement, l'arme la plus utilisée dans leur domaine.

Le duel à mort s'engagea rapidement. Il sentit une balle de son ennemi ricocher près de lui.
Il riposta d'une salve de coups de mitraillette. La rafale ne passa pas très loin de sa cible mais celle-ci esquiva en se déplacent rapidement sur la droite.

Il fallait qu'il se recentre et se concentre pour tuer le plus rapidement et éviter d'être tué. Il changea son arme pour un fusil sniper. Il lança une grenade éclairante et se déplaça sans bruit vers un poste en hauteur.
Il utilisa sa lunette du fusil et visa son ennemi. Sans hésiter, il tira une nouvelle rafale.

Ca y est, il a à nouveau gagné. Il recule son siège et entend les haut-parleurs siffler le "Head shot" qui lui met chaque fois du baume au cœur. Il est le maître de Counter Strike, il en est sur

Invité

Beaux Rp..

Un Noël peu ordinaire

24 décembre 2008, il est 22h48 à Peypin...

Froid et neige. Ce sont les deux seuls mot auxquels était en train de penser Fabien, et à eux seuls, ils arrivaient à le rendre heureux. Il était là, debout devant la fenêtre de son studio. Il sortit la main droite de sa poche et essuya la buée avec sa manche afin d'admirer une dernière fois le paysage. La forêt devant lui était entièrement recouverte par l'épaisse neige qui n'arrêtait pas de tomber depuis maintenant trois jours. Tous cela donnait des allures féeriques au paysage. Fabien se retourna et perdu rapidement sa bonne humeur pour laisser place à la fatigue. Il pénétra dans sa chambre, se déshabilla et se coucha sans plus attendre. Ces dernières journées chargées des vacances l'avaient épuisé, mais aussi exaspéré. Il n'en pouvait plus des traditions familiales interminables passées autour d'une table sans jamais s'arrêter de manger.
Demain j'ai 18 ans pensa-t-il... Demain est un Noël comme les autres.
Et il sombra dans un profond sommeil sans rêves.

*****

Fabien de réveilla recroquevillé sur lui même, genoux contre poitrine, en position fœtus, pour lutter contre le froid qui l'agressait. Il se faufila hors de son lit et s'habilla en vitesse. Puis, il se retourna pour examiner son chauffage d'appoint (un petit chauffage « portable »), mais il n'était plus là. Fabien soupira longuement :
- Qu'est ce qui se passe ? Ça c'est encore un mauvais coup de ma petit sœur...
Il regarda alors l'heure affiché par son réveil : il était 04h00 du matin. Il soupira de nouveau et décida de sortir. Il ne se posait déjà plus de questions à propos de son chauffage, d'ailleurs, il n'avait plus froid. Dehors, il faisait encore nuit. Un petit vent frai soufflait et la lune éclairait de façon tamisé le décor planté devant Fabien. Il constata alors que la neige avait presque totalement fondue.
- J'aurais bien aimé avoir un peu de neige pour mes 18 ans se dit-il.
Soudainement triste, il décida de faire une petite marche le long la route qui passait devant chez lui pour oublier ses malheurs et bien décompresser. Une fine pluie commença à tomber, achevant les restes de neige qui avaient encore tenues. Sous les rares lampadaires qui bordaient la route, la neige arborait à présent des couleurs plus proche du marron, imitant la boue. Il marcha ainsi pendant une dizaine de minutes la tête vide. Il arriva finalement à son arrêt de bus habituel. Mais étrangement, il était rose... Sans se poser plus de questions, il s'abrita dessous, recommençant à avoir froid. Il baissa la tête et comprit qu'il était en pantoufles.
- Ça c'est la meilleure...
Il était en train de se mettre en colère contre lui même et n'ayant rien de mieux à faire, il décida de rentrer chez lui.

*****

C'est alors qu'une lueur bleu apparût au loin, sur la route qui passait devant de son arrêt. C'était visiblement une voiture, qui s'avançait lentement dans sa direction. Quand le véhicule arriva à son niveau, il s'arrêta et baissa la luminosité de ses phares pour ne pas trop éblouir Fabien qui se cachait déjà les yeux avec son bras. Quand il ouvrit de nouveau les yeux, Fabien resta sans voix. Devant lui se tenait une voiture, entièrement rose, avec sur le capot une insigne, semblable à cette des taxis, où était écrit « T.D.G ». Mais ce n'est pas ce qui l'étonna le plus : en effet, cette voiture volait à cinquante centimètres du sol. Fabien commençait à avoir du mal à comprendre ce qui lui arrivait. Il regarda tout autour de lui pour essayer de se rassurer mais rien. Juste ce silence de plus en plus lourd. La vitre du côté passager se baissa lentement avec ce petit bruit d'automatisme et une voix en sortit :
- Et bien petit, qu'attends-tu pour monter ?
- C'est quoi le truc ?
Fabien essaya de distinguer de visage de l'inconnu pour savoir qui lui jouait ce mauvais tour, mais sans succès.
- Quel truc ? Demanda l'homme.
- Votre voiture... Elle vole ?
- Et bien, ça ne se voit pas ?
- Pourquoi êtes-vous là ?
- Pour toi bien sûr.
- Et pourquoi donc ?
- Parce que.
- Je ne marche pas, désolé.
- Voler est bien plus agréable Fabien.
- Comment v...
- Je le sais c'est tout, le coupa le conducteur.
- Alors vous me connaissez ?
- Depuis quelques minutes en effet.
Fabien ne savait plus où donner de la tête, mais l'humour perceptible de l'inconnu lui plaisait, bien que sa voix ne lui soit pas familière.
- Et si je n'ai pas envie de monter avec vous ? Poursuivit Fabien.
- Et bien tu le regretteras toute ta vie, dit-il sur un ton impassible.
Fabien leva les yeux vers le ciel. Il continuait toujours de pleuvioter et la neige n'était toujours pas revenue.
- Je suis là pour ça.
- Vous êtes là pour quoi ? Demanda Fabien de plus en plus intrigué par son destinataire.
Il arriva à entrevoir son visage en penchant et un peu la tête et cru le voir sourire un instant.
- Allez, arrêtes de poser des questions et monte donc. Je vais pas te bouffer.
- Ça reste à démontrer ça... Mais c'est entendu, je monte, fini par capituler Fabien.
Il ouvrit la portière et hésita une demie-seconde, puis s'assit sur le siège bien confortable. Il contempla rapidement l'intérieur de la voiture, entièrement rose.
Décidément.... Pensa Fabien
- On va ou bonhomme ? Demanda l'homme.
Il était grand, maigre mais élancé et plutôt élégant dans son parfait costume rose.
- Comment ça ? C'est vous qui m'avez demander de monter alors c'est à vous de me le dire !
- Hé petit ! Ne t'énerves pas. Je suis un taxi moi, j'emmène les gens où bon leur semble, et non l'inverse. Tu n'as pas vus l'écrito sur le capot ? T.D.G. Cela signifie Taxi De G...
- De Gays ? Le coupa Fabien.
- Non pourquoi ? Demanda le chauffeur étonné par la réaction du passager
Fabien jeta un coup d'œil autour de lui.
- Oh non, pour rien, dit Fabien avec un grand sourire. Alors, c'est un Taxi De quoi ?
- De Geeks.
- Mais je ne suis pas un Geek ! Protesta Fabien.
- Tu jous à Ogame, et cela me suffit.
- Mais comment vo...
- Chut ! Le coupa-t-il. Dis moi plutôt où tu désires aller.
Fabien n'en revenait toujours pas. Mais qui était donc ce curieux personnage ? Il regarda le ciel toujours aussi gris ; puis lui vint une idée. Il dit au chauffeur :
- Comment vous appelez-vous ?
- Gelox.
- Et bien... Gelox, je voudrais aller là haut, déclara-t-il avec un doigt pointer vers le ciel.
- C'est pas trop tôt...
Et la voiture commença à avancer, lentement d'abord, puis de plus en plus vite. Fabien regarda à travers la vitre pour constater qu'ils étaient à un peu plus de cinquante mètres du sol. Il attacha vite sa ceinture de sécurité et s'accrocha à son siège avec ses deux mains.
- Hahaha, je savais bien que ça te plairait ! S'exclama Gelox avec un rire presque communicateur.
Fabien eut un sourire forcé qui disparût quand la voiture volante commença à se pencher dangereusement sur le côté. Elle entama une interminable série de vrilles, tout en s'élevant toujours plus haut à travers les nuages. Il ferma les yeux et dût lutter pour ne pas déglutir son dîner de la veille.
Quand les secousses stoppèrent, il rouvrit les yeux puis les referma aussitôt, ébloui par la lueur du soleil levant.
- Bienvenu chez toi petit !

*****

Fabien n'en revenait pas. Encore moins qu'avant. Ils se trouvait au dessus des nuages gris, au milieu du ciel d'un bleu pur avec un soleil déjà des plus radieux. Mais ce qui le laissait surtout sans voix, c'était cette espèce de petit station flottante, à fleur des nuages.
- Mais... Mais... Qu'est ce que... Balbutia Fabien.
C'était une petite plate forme métallique, repeinte intégralement en rose et qui ne devait pas dépasser les vingt mètres de diamètre. Trouée au milieu par un carré d'environ cinq mètre de côté, cette plate forme tenait en l'air comme par magie, et il n'arrivait pas à le concevoir.
La voiture volante amorça une descente vers la station en question pour s'y amarrer. Ils descendirent du véhicule et Fabien ne pu se retenir :
- Gelox, on est où là ?
- Tu te trouves sur PαThC.
- Ce qui veut dire ?
- Tu es sur la Première station Thermo-Condensatrice Rose du monde.
- Pardon ?
- Et bien comment dire... On fait de la neige grâce à cette machine.
- C'est évident ! J'aurais dûs m'en douter, dit-il avec ironie. Et pourquoi je suis là ?
- Nous avons un objet inconnu dans le condensateur qui empêche la pluie de se transformer en neige... Et je crois qu'il t'appartient.
Fabien éclata de rire, la situation devenait ridicule. Une fois son rire estompé, il arriva à placer une phrase :
- Alors là ça m'étonnerait, je ne vois pas comment ça serait possible, je ne suis jamais venus ici.
- Et pourtant... Gelox soupira. Si tu refuses de nous aider, il n'y aura pas de neige pour Noël et pour tes 18 ans. C'est parce que cela t'as rendus triste que je suis venus te chercher.
- Ok ok ! Si tu le dis... Montre moi.
Il s'avancèrent vers le centre. La trouée donnait une vue sur les nuages gris, une dizaine de mètres en contrebas.
- Allez, tu peux sauter, dit Galox avec calme.
- Tu veux que je me tus ou quoi ?
- Mais non. Regardes bien au centre.
Il n'avait pas encore fait attention, bien trop obnubilé par la vue. Il y avait en effet au centre un petit objet qui flottait, suspendu dans le vide, comme en apesanteur. C'est alors qu'il reconnut son petit chauffage d'appoint qui avait disparût ce matin même. A la seule différence qu'il était rose.
- Je deviens fou...
- Non non, c'est bien à toi. Et maintenant c'est ton devoir de le récupérer.
- Je n'ai pas envie de mourir le jour de mes 18 ans, ça serait idiot...
- Mais tu ne tomberas pas, tu flotteras comme l'objet.
- Comment peux-tu en être sûr ? C'est logiquement impossible ! Protesta Fabien en levant les bras en l'air.
- Comment expliques-tu que cette plate forme tienne en l'air ?
- …
- Alors fais moi confiance.
- C'est d'accord je vais y aller, dit-il d'un air pas très convaincu.
Il s'apprêta à sauter quand Gelox le coupa dans son élan :
- Attends ! Au fait, je voulais te dire : Joyeux Noël, et surtout, Bon anniversaire !
Et il poussa Fabien dans le vide qui se mit à crier tout en fermant les yeux. Il gesticulait dans tout les sens, paniqué à l'idée se s'écraser vulgairement. Mais n'ayant pas la sensation de chute, il daigna ouvrir les yeux au bout d'une trentaine de secondes. D'abord l'un, puis l'autre. Il regarda en bas... Et se remit à crier. Il était là, suspendu dans le vide, tel un saucisson dans un magasin de charcuterie Corse. A la différence qu'aucun fil ne le retenait. Il prit petit à petit confiance en lui et fît mine de nager dans l'air pour se déplacer. Il ne voulait pas rester là plus longtemps. Il s'approcha lentement du chauffage qui tournait sur lui même. Il se retourna pour regarder Gelox mais il n'était plus là. Il regarda alors son chauffage rose et le prit avec ses deux mains.
Soudain, l'effet de pesanteur s'estompa et il commença à chuter. Prît de panique et conscient qu'il venait de se tuer à cause d'un.... D'un... Il n'avait pas de mot pour le décrire mais il continuer à tomber, tout en criant. Il n'avait pas lâché son chauffage, comme si sa vie ne tenait plus qu'à ça. Mais rien n'y faisait, il continuait sa chute interminable vers une mort certaine. Il traversa les nuages et commença à voir sa chère Terre qui se rapprochait de lui à une vitesse folle. Il distingua un village, puis en se rapprochant, une petit maison ; sa maison. Et il s'écrasa dessus...

*****

Fabien se réveilla en sursaut dans son lit. Il se releva brusquement. Il avait des sueurs froides sur le front et ne savait pas quoi penser, affolé, les sens en alerte. Il décida de remettre ses idées en place, d'essayer de se souvenir : Froid, chauffage, pluie, voiture, Gelox, Station... Chute. Il eut un choc et tout revint d'un coup dans sa tête. Paniqué il se leva en vitesse de son lit, ne prenant pas le temps de s'habiller et regarda directement si... Ouf ! Son chauffage était là. Et se rassit sur son lit et soupira longuement, se décontracta du mieux qu'il put. Alors tout ça n'était qu'un rêve ? C'était si... Réel. Il s'écroula sur son lit, épuisé, puis regarda l'heure : 04h01. Soulager il s'habilla, mit ses pantoufles et sortit. Il faisait encore nuit et on ne voyait pas grand chose. Quand soudain il réalisa : il neige ! Un sourire lui monta jusqu'aux oreilles, puis redescendit aussitôt... Il fût frapper de stupeur :
- La... La neige... Elle... Elle est rose...

Fin.

Messages : 1792 Date d'inscription : 15/07/2009 Age : 38

magnifique

quel talent

t'as deja ecrit des livres c'est pas possible???

Non, dans ce dernier texte j'ai atteind ma limite en longueur, après je manque d'imagination et cela devient plat.

Merci du compliment.

Autre chose, le concours de RP par lequel tu étais interessé a lieu une fois par mois, celui d'aout va donc bientot ouvrir.
J'espère te voir participer

Messages : 1792 Date d'inscription : 15/07/2009 Age : 38

jspr aussi mais faut un sujet qui m'inspire je compte sur toi pour nous mettre le lien et le sujet ^^

A priori je vais gagner la première edition, c'est quasi sure.
Donc c'est moi qui vais choisir le prochain thème, et je l'ai deja en tete, y'a moyen d'ecrire de bons trucs.

Je mettrais le lien.

Messages : 1792 Date d'inscription : 15/07/2009 Age : 38

dit le moi
dit le moi comme sa mon ti cerveau y réfléchit ^^

Je ne dirais rien, mais une fois le thème tombé tu aura le temps d'écrire un RP.

Franchement tu as un talent et ce talent tu devrais l'exploiter et l'exercer petit à petit et au bout d'un certains temps ton imagination ne s'arrêtera plus =)

Certe, en vacance j'ai du temps pour ecrire, mais en période scolaire j'ai vraiment pas une minute.
J'ai de l'imagination mais le plus dur dans un RP c'est le style, et c'est pourquoi je met autant de temps a ecrire un rp ( environ 5h)

Mais tout le monde peut y arriver avec de la motivation, si certains veulent essayer je les aiderai

Messages : 234 Date d'inscription : 30/07/2009 Age : 30

Désolé, mais j 'ai la flemme de lire tes RP, c 'est trop long pour moi
Mais d 'après les autres tu as l 'ai très fort =)

^^

Flemmard va.

Messages : 234 Date d'inscription : 30/07/2009 Age : 30

HiiHii c 'est pas vrai La salle des contes -- By Kila 652302

Messages : 1792 Date d'inscription : 15/07/2009 Age : 38

et merde

je me send nul a chaque fois que je lis tes rp

ma motivation pour en faire retombe

lol oui il a fait très fort
c'est très bon
original sa se tient et en plus s'est prenant

y a du taelnt et tu devrais envoyer des nouvelles à des boites d'éditions ou des journaux
parce que la ta une voie qui se trace pour toi

pour peu que tu fasses tes études dans ce domaine et je serais bientot fan de tes livres lol

ps: le nouveau sujet c'est quoi??

Messages : 27 Date d'inscription : 02/09/2009 Age : 33

J'en ai lu que 2 sur 3 (bien sûr j'ai pas lu le plus gros ^^), je dois dire que je ne suis pas emballé par ton style, c'est neutre, tu écris oui mais tu te mets pas
à la place du perso hormis pour le gars mort cocu avec son monologue intérieur (ce passage m'a fait sourire ^^) autrement j'ai pas trouvé l'étincelle qui
fait rentrer dans l'histoire comme si on la voyait.

J'ai préféré ton rp au concours, lui je suis bien rentré dedans (un bon rp en somme).

Certe, mais c'est mon style c'est comme sa qe j'aime écrire.
Le RP sur le mec au paradis je l'avais écris por un concours de RP sur l'humour .

Celui que ta pas lu est celui dont je suis le plus fier, mais je ne pense pas que tu l'aime car tu n'aimes pas les histoires qui ne sont pas logiques Smile