_Ashura_
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 Spain-Doldo l'être parfait

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fifou
Spain~Doldo
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MessageSujet: Spain-Doldo l'être parfait   Spain-Doldo l'être parfait Icon_minitimeJeu 28 Avr - 7:24

Citation :
Le 1er jour :
Le soleil éclairait mes yeux à travers la vitre. Cela me réveillât, avec un mouvement réflex de frottement. En me levant je m’attardais sur les nuages du ciel. Mon réveille sonnait toujours, car il était 7h00. L’armoire elle aussi m’appelait pour que je m’habille. Pour aujourd’hui des vêtements sportif, parce que compétition de tennis cette après midi. Il me restait à prendre mon petit déjeuner. Qui était préparé par ma mère. Quand j’arrivais, elle attendait que le lait soit bien chaud. Moi pendant ce temps là, je me préparais des tartines. Après la 2ème tartine ma mère posa devant moi. Elle me servait, puis elle s’assit. Je remarquais qu’elle avait pris juste une chemise.
Alors je lui dis :
- Tu as regardé le ciel ce matin ?
Elle arrêta de boire son café, puis réfléchi avant de me répondre :
- Je n’ai pas besoin de plus, car je te dépose.
Je commençais à boire mon lait chaud. Là une douleur subite et atroce me pris la gorge. Pourtant je ne l’avais pas mal avalé. Je ne comprenais pas la raison de ce malaise. Alors j’entreprends une autre tentative, là encore les même effets secondaires.
Ma mère me regardait avec des yeux bizarres et m’interpelle :
- Tu joues à quoi Raphael ?
J’avais la main sur la gorge, puis je la remontais jusqu'à ma bouche avant de lui répondre :
- Rien j’ai mal avalé.
Je pris mon courage à deux mains et englouti tout le bol. La torture commença par des tremblements des membres, puis une chaleur diabolique m'envahie, pour finir des picotements infernaux me submerge. J’avais l’impression d’avoir mit de l’après rasage. Heureusement pendant cette crise ma mère était partie prendre ses clés. Je me secouais la tête, pour oublier la douleur. Je ne comprenais rien à se qu’il vient de se passer. J’y réfléchirais plus tard, parce que là ma mère m’attendait. Je me pressais pour aller dans la belle BMW. J’atterris sur la banquète arrière, qui contenais un journal. Il devait appartenir à mon père. Je le lis pour faire passer le temps. Là première page se composait d’une image une courbe qui monte avec un titre « Le chaumage ». Un article dans la troisième page attire mon regard.
«Quatre astéroïdes on pénétrait dans l’atmosphère, ils auraient atterrirent en France, Italie, Japon et aux Etats Unis. Celons plusieurs prophètes c’est le signe du début de l’apocalypse. Leur argument serait qu’on est retrouvé aucun fragment de ces objets. Nous sommes en 2012, il n’en fallait pas plus pour les persuader… »
Le journal était de hier, le 08/07/2012 cela semblait me rappeler quelque chose. Je regardais le journal avec un léger sourire. Je levais la tête et vit le stade de tennis. Je fermais le journal et partie en direction de l’établissement.
L’entraineur attendait les élèves sur une pile de matelas. Il prend progressivement son cahier et commence l’appellation des noms, puis arrive le mien :
- Raphael Morgan, il est où ?
Même pas besoin de parler juste de lever la main. Après il nous explique le contenu de la journée :
- Bon ! Dans 1er temps vous allez, vous échauffez puis on commence la compétition. Elle va se passer le terrain de terre battue. La semaine prochaine on ferrât pareille sur le gazon, et pour finir sur le synthétique. Les gagnants des tournois représenteront le club au niveau national. Cela se passera à Paris dans Roland Garros.
Pendant tout le discoure il se frottait les mains, comme il était devant un gâteau. Il reprit le fil de ça conversation :
- Bon pour l’échauffement 5 tours de terrain. Allez !
Le professeur ressemblait à un militaire retraité. Le crane rasait avec des muscles bien visible. Il avait un regard froid, strict et très exigent avec nous. Car sur nous reposaient la réputation du club.
Après l’endurance, poursuit par des pompes, un exercice bien militaire. On continue sur des étirements, des bras, poigner et des chevilles. Pour finir un math d’échange libre. Là plus part des élèves se livre à un pseudo duel.
Il vient midi pose déjeuner. C'est alors que je sortis de mon sac à dos le sandwich. A prés ils restaient une heure pour digérer. 14 heures le tournoi commence. La terre battue était mon terrain de prédilection. Car j'arrivais à tourner le match en ma faveur grâce mes amorties, qui était amplifier parle contacte avec la terre. Parce qu'elle absorbe l'énergie.
Le schelling commence par un math entre Raphael Morgan et Maxime Rader. J'allais affronter Maxime, mon meilleur ami. Il commença fort car de suit il essaya d'imposé son jeu tout en puissance. Moi je place quelque amortie, qui son à chaque fois gagnant. Le premier set fût remporté par Maxime, car son service le bien aidé à prendre l'avantage. Le deuxième set je décidais de mettre plus d'amortie, cela eut pour effet de déstabilisait Maxime. Incise je remporte le set et même le troisième. Le quatrième set était décisif pour moi. Il fallait à tous pris que je le gagne. Mais mon adversaire avait trouvé la parade contre mes amortis. Cela me nous compliquait l'affaire. On arrivait au jeu décisif, qui tourna en ma faveur avec un peut de chance car par quatre fois la balle touche le filet et retombe de l'autre coté. Je m'en excusait au prés de Maxime. Les autres matches fur une vrais partis de plaisir. Sauf le final qui m'opposais à John Deo, le meilleur élève. Sa stratégie était d'épuisé l'adversaire en lui renvoyant la balle toujours à l'opposé. Ca tactique lui a parmi de remporté les deux premiers sets. Le troisième set se déroulait comme les autres. On arrivait à 4-0, en faveur de John. J'étais épuisé, mon front était devenu une vrai fontaine, je n'arrivais plus à réfléchir.
Puis tout à coups une énergie bizarre m'arrivais, elle me fit retrouvais mas force même plus et éclaircie mes idées. Je frappé avec un nouveaux tonus. Mon jeux se trouvas plus violant, plus intense avec des amortie décisif. J'avais réussie à gagner se set 5-7. Les autres sets se gagnaient de la même manière. Le match s'était passé comme ça :
6-1 ; 6-0 ; 5-7 ; 4-6 ; 0-6. L'entraineur m'inscrit comme meilleur joueur sur terrain de terre battue, et les autres allaient être là, le samedi prochain pour le tournoi sur pelouse. Qui se déroulera sans moi vue, que je suis déjà qualifié. Ma mère me ramène, je m'endormir dans la voiture. Je pris le repas du soir, après une douche je m’allongeai sur le lit tellement j’étais fatigué.
Voilât premier jour la suite demain.


Dernière édition par Spain~Doldo le Sam 30 Avr - 13:58, édité 1 fois
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fifou
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MessageSujet: Re: Spain-Doldo l'être parfait   Spain-Doldo l'être parfait Icon_minitimeJeu 28 Avr - 18:09

C'est long à lire , mais pas mal du tout Wink

Gg a toi
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MessageSujet: Re: Spain-Doldo l'être parfait   Spain-Doldo l'être parfait Icon_minitimeJeu 28 Avr - 21:17

Je ne sais pas où vous allez chercher tout ça -_-'

Question

pas mal en tout cas
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draculus
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MessageSujet: Re: Spain-Doldo l'être parfait   Spain-Doldo l'être parfait Icon_minitimeJeu 28 Avr - 23:31

pas mal, j'attends la suite avec impatience !
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Marev
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MessageSujet: Re: Spain-Doldo l'être parfait   Spain-Doldo l'être parfait Icon_minitimeVen 29 Avr - 5:19

Citation :
Je ne sais pas où vous allez chercher tout ça -_-'

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GG Spain
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MessageSujet: Re: Spain-Doldo l'être parfait   Spain-Doldo l'être parfait Icon_minitimeVen 29 Avr - 5:27

Citation :
Le 2ème jour :
Je me réveille plus tard, sous les coups de 8 heures. J’avais du mal à ouvrir mes yeux, il était bloqué par une étrange substance noire. Je m’appliquais avec mes doigts à déplacer les pattes. Il fallait la fragementer en petit morceaux, puis ensuit l’évacuait en se frottent les mains.
Je commençais à me poser des questions sur la série d’événements étranges, qui sait passer hier et ce matin. Je devais savoir se qui se passait à l’intérieur de moi. Visiblement j’avais attrapé quelque chose avant-hier, qui ne plait pas à mon corps. Là je me souviens que pendant le math de tennis, mon corps avait réagi de manière bizarre contre John Deo. Il semblait avoir une relation entre effort physique, et apparition de la substance étrange.
« Mais pourquoi, l’action de boire du lait me fait-il mal ? »
Pour l’instant aucune réponse pour cette question. En attendant d’avoir une solution je devais résoudre l’hypothèse de l’effort physique. Je m’empressais de sortir de la maison, quand je passe devant la cuisine. Là mon ventre se met à faire du bruit. Ci je voulais faire du sport je devais manger.
Mon père était déjà en place sur ça chaise, avec le journal d’hier accotait du bol. Je me préparais le petit déjeuner quand je vis la brique de lait. Je l’évitais prudemment, pour éviter la douleur affreuse. Je posais le tout sur la table, puis j’entamai les tartines aux beurres miels.
A ce moment mon père sortit une réplique :
- Tu n’accompagne pas ton repas d’un bol de lait ?
J’allais mordre ma premier tartine, alors je retire ma bouche du pain et lui répond :
- Non ! Je suis pressé aujourd’hui, je dois faire un truc.
Je m’empressai de finir, ensuit je pris une vulgaire veste. J’agrippais mon vélo et je me dirigeais vers le stade de foot. Je m'amusais à tirer de toute ma puissante sur le mur, qui fesait les bordures du stade. Je le fesais en espérant voire réagir la force. Elle ne mit pas longtemps à se manifesté juste 15 tires on suffit. Je constatais une forte contraction des muscles. Je continuais à frapper et là une sorte de fumer noir sortit de ma cuise.
Quand mon pied touchât le ballon, il allait s’éclater contre le mur. Le ballon se mit à dégonfler surplace. J'arrêtais tous de suite les tires et pris mon vélo. Mais à peine avais je fais quelque tours de pédale que la fumé sortit de nouveau. Cela me fit doubler ma vitesse. Je réussis à arriver en freinant sans casser les freins. Mais par contre j'étais à deux dois de tomber en avant. Je réussis à rentrer pour manger. Cela tombait bien car la faim me prenait l’estomac. Mon assiette était toujours vide tellement je mangeais vite, je pris même des fruits, des légumes et du fromage alors que normalement je n'en prenais pas. Une fois le repas finit. Je m'assis sur mon lit et la des milliers de questions m'envahi. J'avais envie de dire tous à mes parents ils ne m'auraient pas cru. Je voulais garder sa pour moi, et surtout être comme les supers héros. Il fallait à tous prix en savoir plus sur comment ça marcher. Alors j'essaye d'appeler mes pouvoirs par la volonté. Le premier essaye fut nul. Je fermé les yeux, fait le vide dans ma tête et la je respire un bon coup, et je les ouvris et la je vis deux trous dans l'armoire accoté de mon lit. J'attendis une personne monté je pensais que s'étais ma mère.
Quand elle ouvrit la porte je su que s'étais elle. Ma mère me dit :
- Qu'est qui s'est passé ?
La panique avait envahie ma voie, mais je devais li répondre :
- Rien, je médite.
Puis on entendit la sonnette de la porte. Je me précipitais vers la porte ne laissant pas l'occasion à ma mère de continu la conversation. J'ouvris la porte et la je vue une déesse. Elle était blonde aux yeux bleus, avec des atouts non négligeables. C'est la qu'elle me dit :
- Bonjour je m'appelle Noémie Xanien, pardonnais moi, suis je bien chez la famille Morgan ?
Je me secouais la tête pour reprendre mes esprits et lui esquissât :
- Oui !
Elle reprit :
- Parce que j'organise une fête pour mon entré en 1er S, et j'invite toute la classe.
Je répliquai :
- Merci ! C'est très gentil, je viendrai.
Elle partie dans une voiture blanche. Je pris le carton à deux mains et me dirigé vers ma mère, tous en l'appelant. Elle arrivât en courant :
- C'était qui ?
Je tremblai encore de l’émotion :
- C'était Noémie une fille de ma classe, elle organise une fête pour sa rentré en 1er S.
Elle s’arrêtât sur une marche de l’escalier :
- C'est quand ?
Je maintiens le carton devant moi et je lis :
- C'est se soir à partir de 20 heurs.
Maman ne put s’empêcher de poser :
- Et ça se fini a quelle heure ?
Il était écrit que ça se finirai à 22 heures.
- Alors maman, je peux y aller ?
Elle laissât échapper un long souffle :
- Bon d'accord je t'emmène.
Pendant le repas du soir ma mère annonce à papa l'invitation.
Mon était pour la fête, mais il voulait que sa sois lui qui me ramène. Une fois le cas croute fini, ma mère me transportât au lieu indiqué par la carte. On arrive dans une maison avec un style 18ème siècle, devant il y avait deux grands allées d'arbres. On entre dans la demeure et la on vie que 5 personnes dans la salle, alors que ma classe en comptait trente trois. Noémie était seul sans parent se qui fit réagir ma mère :
- Raphaël si tu t'ennui, ou que quelque chose te paré louche, tu nous appelles et on vient te chercher.
Ma mère partit avec la peur dans le visage.
Je me dirige vers Noémie en fessant mine de rien. Elle parlait tous seul :
- Pourquoi ils ne sont pas venus ?
Je fais un petit bruit grave avec ma gorge.
- Hum ! Hum ! Salut Noémie sa va bien ?
La déesse secouât la tête avant de répondre :
- Non sa ne va pas !
Je cherchais une réplique pour la consoler :
- Mais ils ne sont pas tous arrivais !
- Si malheureusement, dit-elle avec une larme sur la joue
- Ils sont où tes parents ?
- Ils arrivent qu’à 22 heurs.
Un invité s'enlève de la piste de dance et se dirige vers nous. Il s'arrête et regard l'organisatrice de la soirée :
- Et venais voie (les trois personnes le rejoint) regardaient cette fille de bourge, qui s'est aperçu que sa fête était un vrai fiasco. Bon aller on s'en va.
Voilât il ne restait plus que moi et Noémie, qui maintenant s'était effondré. Je lui mis mon bras autours de son coup et en essayant de rapproché sa tête de mes épaules. C'est la qu'elle dit :
- Merci Raphaël, mais si tu t'ennuis tu peux partir.
J'en lève mon bras et je la regardais bizarrement, pour bien lui faire comprendre que je ne m'ennuyais pas. C'est alors quand, une seule seconde elle prit ma tête et l'amenât jusqu'à ces lèvres. Elle m'embrasse sur la bouche. Moi je fermais les yeux pour savourais se moment de pur plaisir. Mais il y eu un trou noir brutal et la seul chose que je me souviens et d'un bruit << PAN >>.

Après quelque minute je réussis à ouvrir les yeux. C'est alors que je me rendis compte, que les yeux étaient la seule chose que je commandais. Je les bougeais un peut, et très vite je m'aperçu que j'avais la tête allongé sur le fauteuil. Là une substance visqueuse noire me recouvrit les mains. Mon corps se levât de son support. L'horreur Noémie avait une arme dans les mains. « Comment cela pouvait être possible ! » Ma bouche incontrôlable articula :
- Tu vas mourir !
Puis un poing fermer se dirigeât vers elle. Le point d'impacte fût ça joue. Un autre poing heurta ces dents. Elle fût propulsait à 5m plus loin. Mon squelette saut tous en unissant les deux mains pour l’écrasais.
Sous le choque la peau de mon adversaire se craquelle pour laissait apparaître ça vrais nature. Elle était un robot de haute technologie. Le sol s'était craquelé sous le choc. La machine ripostât avec un uppercut. Il reculât en fessant une pirouette ; il riposta en sautant sur elle. C'est la que Noémie évolue en un robot tous bleu avec des épines, qui sortait des coudes, du dos et de la tête. La mutation provoqua une onde de choc, qui nous expulsait hors de la maison. C'est là que mon corps prit la même apparence mais en noir. Je le voyais grâce aux morceaux de vitre parterre. On était face à face, après deux secondes de vise à vis. On se dirigeait vers elle. On lui porte des coups qu'elle esquivât. Noémie essayait à son tour de porté le danger, mais nous en profitons pour lui prendre le bras, et la plaquait au sol. On enchainât par un écrasement des pieds et des mains. Là son torse s'ouvre pour faire apparaitre un rayon, qui nous fit heurter un arbre. La maison fût soufflée par la puissance. Xanien se dirigeait vers nous, on l'arrêtât avec le pied droit et avec le gauche on la projetait en l'aire. On finit par le rayon thoracique d'une main on là prend en plein vol. Noémie ouvrît sa bouche et là un second trou noir.

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Spain~Doldo

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MessageSujet: Re: Spain-Doldo l'être parfait   Spain-Doldo l'être parfait Icon_minitimeSam 30 Avr - 6:11

Citation :
Le 3ème jour :
Une douleur naquit dans ma joue. Cela me fit vibrer les paupières. J’ouvris les yeux. Là je vis que c’était un médecin qui m’avait certainement frapper. Mais je m’aperçois, que j’avais le control de mon corps, car je pouvais mettre ma main sur ma joue. En regardant le docteur je commençais à comprendre se qu’il disait :
- Ah, il s'est réveillé.
Je me remémorais les événements de la nuit dernière. Quand l’homme en blouse blanche m’interrogeât :
- Qu'est ce qui c'est passé ?
Dans un premier temps je ne comprenais pas se qu’il disait. Après je me doutais bien qu’il voulait parler de hier soir. Avant de lui répondre, je devais remettre mes idées en place. Alors l’homme se répète :
- Qu’est qui c’est passé ?
En me remémorant l’histoire, je me rendais compte que je ne pouvais pas lui dire tout la vérité. Il me fallait inventer une histoire.
- Vous parlez de cette nuit ?
Il me fallait gagniez du temps, pour élaborer un mensonge. Alors je devais éviter de répondre à c’est questions. Le docteur continuait son questionnaire :
- Oui je veux parler de hier soir car Noémie était ma fille. Alors il s'est passé quoi ?
Je n'étais pas dans l'embarra. Je ne savais pas quoi faire. Je vais lui lâchais un bout :
- Il y a eu une explosion.
Il mit un moment avant de répondre :
- Et Noémie elle était ou au moment de l'explosion.
J’ignorais la réponse à cette question. Je savais qu’elle était dans l’explosion. Mais après l’explosion, je ne sais pas se qu’elle est devenu. Je lui dévoilai mon incertitude.
- Je ne sais pas se qu’elle est devenue après l’explosion.
Après cette phrase, qui médusât le regard du médecin. Un « toc !toc !toc ! » retentit vers la porte. C’était ma mère qui voulait entrer. Je ne pensais jamais dire ça un jour « merci ! Maman ». Il a suffit qu’elle me voie pour m’encercler avec ces bras. Mais derrière elle, il avait un drôle de monsieur. Il n’était pas mon père. Il portait une veille casquette grise, avec une veste noire. Il regardait bloc not avec un visage perplexe. Le monsieur interrompu la joie de ma mère pour laisser place à ces interrogations :
- Bonjour je me présent, Jacqui Orni, je suis l’enquêteur responsable de cette affaire. Je vais vous posez une série de questions, vous sentez vous près pour y répondre ?
Mon regard se perdit dans la salle. Car tout le monde avait les yeux rivaient sur moi. J’essaye de saisir le peut de courage pour répondre :
- Oui ! Mais pas très longtemps, parce que je suis fatigué.
Là il prit ces lunettes marron, les mets puis commence son interrogatoire :
- Je veux savoir qui était avec toi à la soirée ?
Une pensée s’échappe : « Je crois que je n’aurais pas dut dire oui. ». Puis je me remémorais l’anniversaire, pour lui dire :
- Je savais qu'il avait Noémie, mais le reste je ne l'est connais pas.
Visiblement il ne semblait pas satisfait par mes paroles. En même temps, c’est la stricte vérité. Alors mécontent il me rétorquât :
- Il y a un problème Noémie Xanien a disparut, et que vous êtes le seul à l'avoir vue avant ça disparition. Donc vous êtes notre principal témoin, mais aussi notre principal suspect.

A ces mots ma mère ne put s’empêcher de respirer fortement. Cela fit naitre un temps de silence. Il fut vite combler par l’inspecteur :
- D'après le père Noémie, il n'avait que la classe de 1er S.
Je suis bien obligé de m’expliquer :
- Oui peut être, mais je suis nouveau moi... Je ne connais personne dans la classe.
Il reprend son calepin, puis continu :
- Vous étiez combien dans cette fête.
- On était 6, je crois. Enfin je n'en est vue que 6.
Je ne savais pas si, il parlait avec ou sans Noémie. Mais il ne laissa pas le temps de lui poser :
- Tu te souviendrais d'eux si je te montre des photos ?
- Non car il fesait noir, c’est principe d’une fête la nuit.
- Dernière question.
J’étais soulagé par cette phrase.
- Savez vous se qui a pulvérisé la maison des Xanien ?
- Non je l’ignore !
Sur se il partit en éjectent une dernière phrase :
- On se révérât
Ma mère de suit après enchaine par :
- Tu vas bien mon fils, dit ma mère avec un air inquiet.
Je commençais à en avoir marre de parler, je fis échapper un grand filet d’aire. Mais mon père ne me laissât pas le temps de parler :
- Tu vas le laisser, tu ne vois pas qu'il est fatigué. Puis tu n'aurais jamais dut le laissais.

Mes parents continué à parler :
- Ecoute Jean Claude c'est vrai que j'avais des sentiments bizarres sur cette soirée, mais je ne pouvais pas le ramener sous prêtes que cela santé mauvais. Il avait son portable sur lui.
Expliqua ma mère.
- Mais tu crois qu'avec une explosion on a le temps de saisir son portable. S'exclama mon père. Hum ! bon ! moi cela m'énerve.
Pendant que mes parents se renvoyer la faute. Moie j'essayais de me levés. Mais ma mère repère mon déplacement et s'opposât. Elle ajoute qu'il était quatre heures du matin. Ceci ne me fît pas renoncé à me lever, parce que je voulais rentrer chez moi. Cela fut possible finalement avec l'accord du médecin. En arrivant devant ma maison la faim me prit l'estomac. Une faim qui me fessait voir ma chienne comme un bifteck. On entre et je me préparais mon petit déjeuner, qui pour l'occasion c'était transformé en déjeuner. Car il resté plus rien dans le frigo. Alors ma mère a dut aller les courses pour pouvoir manger à midi. C'est à ce moment la que je me pose des questionnes, qui me font pensée à hier.
Une fois de retour, j'essayais sur mon lit une autre manipulation de mon pouvoir. Je fermais les yeux et avec ma pensé je concentrais toute l'énergie dans mes mains. Mais cela n'a pas marché comme je l'espérais. Parce que une fois que j'ai ouvert les yeux. Je vis du liquide qui avait envahi mes membres, il avait amené avec lui mon sang. Une douleur atroce me submerge. La masse noir continue a s'écoulé et moi à perdre mon sang. Je m'empêchais de crier ma douleur. Puis d'un seul coup s'est mon ventre qui s'ouvre pour une cascade de sang et de matie noir. C'est à ce moment que je sentie perdre connaissance. Mais une fois dans le cousin, je vis trouble, mais arrivais à distingué que la cascade avait laissé place à une femme, qui était poser sur moi. Mes yeux se ferment sur ses dernières images. Mais le souffle de vie m'avait fait reprendre conscience.
La fille était belle avec sa robe noire, qui était en harmonie avec ces cheveux. Le plus surprenant était la disparition de mon sang.
Elle commence :
- Bonjour sa va ?
« Mais bien sur, je vais bien, tu viens de me vidé de tous mon sang ! C'est la qu'on sera conte que les demoiselles sont très connes. »
Elle continue
- Je nomme Safira Mortie
Tu vas me laisser reprendre mon souffle.
- On t'a coupé la langue ! hein !
« Non tu viens de me couper la circulation sanguine. »
- Bon je vais tous t'expliquer. Je suis l'origine du pouvoir que tu as maintenant depuis trois jours. Je suis venu par trois astéroïdes. Je viens ici pour fuir ma planète. On va dire que je suis un refugier politique bon tu arrive à parler ?
« Enfin elle devient intelligeant, elle m'explique qui elle est ! A je sens que je peux parler. »
Je pris une grande respiration :
- Oui ! ... Pourquoi ta planète est commandée par un dictateur ?
- Oui c'est ça !
- Mais pourquoi tu n'es pas apparut avant ?
- Dison qu'il me fallait reprendre des forces.
- Mais j'aimerais bien savoir se qui sais passer dimanche ?
- Tu veux parler du combat avec Noémie.
Elle attend mon consentement avant de continuer :
- Bien j'ai réunie mes dernières forces pour la battre.
- Non je veux savoir pourquoi elle a essayait de me tuer.
- Elle voulait te tuer, en te tirant dessue, parce que tu représenté une menace pour elle vue qu'il y avait moi.
- Mais c'est qui ?
- Tu poses beaucoup de question. C'est une extraterrestre, qui fait partie du peuple Xanien. En faite Noémie est Zena Xanien la reine des Xanien. Il y a quelque temps, ils sont subits une lourde défaite contre les Mages, et je pense qu'ils ont voulut se vengeais sur vous.
- Hein !
- Chute !
Elle se rapproche de moi et m'embrasse sur la bouche. Puis elle introduit sa langue dans ma bouche. Je la repousse même si j'aimé ça.
- Tu me fais quoi la ?
- J'exprime mes sentiments.
- Je te signal que tu es toi aussi une extraterrestre. Je ne sais pas se que pourrais faire notre alliance.
- De toute façon j'ai déjà exploré tous ton corps.
- Tu es une vicieuse !
- Oh tu veux me virer de ce corps.
- Ce n'est pas un jeu. Mais tu sais quoi sur moi !
- Je sais tous se que tu sais, et même se que tu pense.
- Et ! Ma vie privée.
J’étais très frustré de cette révélation.
- De toute façon tu veux que je le raconte à qui.
- Oui mais quand même. Tu ne pouvais pas tomber sur quelqu’un d'autre.
- Moi je trouve que je suis bien tombé.
- Oui mais avant de montré ses sentiments on doit connaître l'autre.
- Mais je te connais.
- Oui mais moi je ne te connais pas.
- Oui mais mon histoire est long
« Non tu ne vas pas te défiler. »
- Et alors la mienne aussi.
- Oui mais on na pas tous le temps devant nous. Car Noémie n'est peut être pas venus tous seul.
- Ah ! Oui ! A propos de Noémie qu'est ce qu'elle devenus
- Ne t'inquiète pas la, ou elle est personne ne la trouveras.
- Oui ! Mais cela.................. (elle mit ses doits sur ma bouche)
La ma mère ouvre la porte je regardais, heureusement Noémie avais disparut. Elle débuta par :
- Mais tu fessais quoi ?
- Et toi pourquoi tu es venu ?
J’insistais avec les yeux :
- Je suis venu juste t'avertir que demain tu reprends les cours, donc réveille à six heurs du matin. Et maintenant à toi.
- Moi j'étais entrain de pensée.
- Bon tu viens vite manger c’est l'heure.
Je descendis l'escalier qui donne à gauche pour la cuisine et à droite pour le salon. Mère appelée mon père. Je m'installe à table avec ma famille.
Ma mère est Marie Morgan ces parents était Italien et agriculteur. Son père était Raffaël Albanese et sa femme Philomène. Marie était la première, elle avait une enfance commandé par son for caractère et par sa mère qui se fessait battre par son Mari. Elle a fait des études de comptabilité, mais elle a eu des problèmes avec la première Bank, qui l'avait employé. Maintenant elle est toujours sans travail. C'est une femme qui exagère beaucoup de chose. Elle est très mère protecteur, qui a oublié son mari. Elle donne des responsabilités à ses enfants de manière irrégulière. Mais on lui pardonne tous ses travers car elle est juste, gentil et intelligeant.

Mon père est Jean Claude Morgan ces parents était Français et ébéniste. Il était devenu ébéniste mais pas à son conte (trop risqué). Il a un problème, il change de métier comme de chemise. Son père était Michel Morgan était un homme à l'idée cassant come son humour. Sa femme Bénie est une femme profondément hypocrite, qui se cache devant l'église pour faire s'est connerie. Son enfance c'est passé sous l'esclavage de son père. Mais il était le premier enfant de la famille. Il a grandie sans vraiment savoir qu'il était ni se qu'il allait devenir. Son caractère bon, gentil, tolérant et impulsif, la poussait à s'oublier au profit des autres. Cela est dommage car cette une personne unique.

Ma famille est un paradoxe car les parents de ma mère voulaient un garçon et les parents de mon père voulaient une fille. Moi je ressemble à mon père avec le caractère des deux, mais dominance Jean Claude.
Ma Mère prend la télécommande et allume la télé. Les publicités venaient juste de fini et il commencer les informations. Les présentateurs s'attardent sur l'accident de la nuit dernière. Noémie Xanien était la fille du nouveau médecin de Lyon, Edouard Xanien qui est marier Cassandra Xanien. Il ajoute Que Noémie aurait disparut après l'explosion de la maison. L'habitation qu'il montré était complètement soufflé de l'intérieur comme si tornade avait eu lieu en son seins, avec un cercle noir au centre. Ensuite le présentateur passe à un autre article.
Maman commence la conversation :
- C'est la fille avec qui tu étais hier ?
- Oui ! je redouté les autres questions.
- Ah ! Mon avis ils vont encore te posé des questions ?
- Tu es sûr !
- Oui ! Peut être même que tu vas être leur principal suspect, vu que tu es le dernier à l'avoir vue. Mais bon tu n'as rien à te reprocher ?
J'avais le regard figé, tous mon corps était immobile devant cette déclaration. Je fais vibré ma tête et répond.
- Oui !
Dés le repas fini, je remontais dans ma chambre. Car on n’avait pas fini la conversation avec Safira. Mais une fois dans la chambre je ne savais pas comment là faire réapparaitre. Puis ci je pouvais éviter l’épisode du sang ça serait bien. Je m'exerce, alors j'imagine de l'argent, ensuite j'ouvre mes mains et là rien. Je vis Safira a accoté de moi avec une liasse. Elle les contes il y avait 500€. Elle me donne les billets, je n'en revenais pas. Mais Safira me regard d'un aire négatif. Elle retournât vers et m’infligeât une sévère gifle.
Elle prit très appuyer :
- Mais tu prends pour quoi ? Je ne suis ni ton chien, ni ton esclave ! Tu ne peux pas faire se que tu veux, car c’est dangereux. Je ne suis pas là pour assouvir tes besoins personnels. Tu as bien comprit.
- Oui
S'était la première foi que je voyer une fille aussi énerver. En fait je n’avais rien comprit alors je pose une question :
- Mais pourquoi tu t’énerves l’argent, c’est juste pour c’exercé.
- Non mes arrêtes de cherché des excuses, tu deviens bidon. Tu avais raison je n'aurais pas du tomber sur toi.
- Oh ! Calme-toi ! Pourquoi, que cela signifies pour toi ?
- Tu ne sais pas avec quoi tu joues ! Alors réfléchit bien avant de faire quelle chose !
Je devais rebondir sur cette phrase :
- Ben ! Alors dit moi tout sur tes pouvoirs.
Elle se tournât vers la fenêtre pour dire :
- J’espère que tu es digne de confiance ? Je n’ai aucune limite à ma puissance.
- Cela veut dire quoi en langage humain ?
Elle apparait face à moi :
- Tout se que tu imagine je peux le faire. C’est pour cela que je te demande de bien réfléchir, car après le retour à la normal n’est pas possible.
- Mais pourtant tu as dit que tout était possible.
- Ben là non !
- Ok ! Il y a autre chose que je dois savoir ?
Elle prit une pause avant de répondre :
- Oui ! L’eau stop totalement mes pouvoirs.
- Ah ! Cela explique beaucoup de chose.
J’engageais la conversation sur un autre sujet :
- Mais tu es venus quoi faire ici ? Tu vas restais combien de temps ici ? Projettes-tu de partir ?
- Pour l’instant le plus important c’est de détruire tout les Xaniens présent sur Terre.
- Comment ça je ne comprends pas.
- Noémie n’est pas venue seul. J’en suis persuadé. Il est probable que ces généraux vont vouloirs nous tuer.
- Comment, en nous aspergeant d’eau ?
- C’est une solution !
Je ne savais ci c’était mon esprit, ou le conteste, mais je ne comprenais pas grand-chose à se qu’elle disait. Alors j’insiste.
- Il se passe quoi pour moi dans se cas ?
- Pour toi tu meurs tout simplement !
Je vois qu’elle de poursuit pas, alors je réplique :
- Tu peux développer ?
- Tu vas mourir ! Jusqu’au dernier nouvelle, il n’y pas plusieurs manière de mourir.
- Oui ! Mais je veux parler pour toi. Tu deviens quoi ?
- J’ai deux alternatives, soit je cherche une autre enveloppe ou je retourne chez moi.
Cela intrigue mon esprit, alors je reviens sur l’eau :
- Mais quand je touche de l’eau, il va s’écouler combien de temps avant que tu puisses réagir ?
- Ou la c’est variable. Car en faite cela dépend de la quantité d’eau et ça qualité.
- C'est-à-dire ?
- Je te l’es dit, c’est compliqué !
- Mais il s’agit d’une question de vie ou de mort, alors réponds ?
- D’accord, alors pour environs un litre d’eau c’est environ une heure.
- Ah ! Quand même ! Cela veut dire que pendant une heure je suis un être humain.
- Non ! pendant une heure il t’est impossible de bouger, la douleur sera trop forte.
- Donc je fais quoi pendant une heure ? Je me laisse tuer ?
La panique s’emparât de tout mon corps.
- Je ne pense pas que cela va arriver.
- Tu peux me dire pourquoi ?
- Je ne sais pas encore, mais tu as quelque chose de spécial. Déjà quand Noémie t’as tiré dessus. Tu aurais dut mourir. Car je n’étais pas près. Mais la fraction de second avant qu’elle tir, je me suis retrouvé à ta place. Et ça pour l’instant je ne l’explique pas.
Elle se plante devant la vitre, d'une aire pensive. Un silence s'installe et on entendit le bruit des chaussures, qui monté dans notre direction. Mais à peine la peur m'avait envahie que Safira avait disparut. Un toc retenti de la porte.
- J'ai reçus les cours par internet tu les veux.
- Oui !
Elle ouvre la porte, elle me les mes sur mon bureau.
- Merci, maman !
Je me dirige vers les feuilles et je commence à lés lires. Il n'y avait pas grand-chose vue que s'était le premier jour. Après quelque minute ma mère m'appelle pour le repas du soir. Mon père était revenu de son travail.
- Alors mon fils, tu racontes quoi de bon.
- Rien, et toi Papa ?
- Oh ! tu sais travailler dans la construction d'une maison. Ce n'est pas toujours rose surtout quand on nous vole les matériels. Mais bon demain est un autre jour.
Il s'arrête à la vue du repas que ma mère pose sur le dessous de plat. Il commence à manger avec l'appétit d'un affamer. Moi contrairement a se qui m'arrivait depuis quelque jours, je n'avais pas faim, sans appétit je mangeais jusqu'au plat de résistance. D'ailleurs ma mère fut surprise de se retour à la normal. Je retournais dans ma chambre pour être tranquille devant la télé. Ce soir la, il avait un documentaire sur les trous noirs. Safira le regarde avec moi, enfin elle dormait accoté de moi ! Mais moi aussi le sommeil me pris juste après, que j'éteignais le téléviseur.
Après quelque minute les yeux fermer j'entendis des voies. Je n'arrivais pas à interpréter leurs sens. Quand tout à coups je me retrouve dans une salle noire, on pouvait distinguer la silhouette de deux femmes. Je m’approchais et là je vis Noémie et Safira, qui parlait. Une gifle retentit et Safira enchainât :
- Où son les autres Xanien !
- Jamais je ne te le dirais pas.
- Mais de toute façon ta garde personnel va vouloir de délivrer, peut être tes lieutenantes !
- Il y a un truc que je ne comprends pas, c'est pourquoi. Tu es là ?
- Pourquoi ! Je suis La mort déesse de la planète noir fille du vide, envoiler ici par HISTOIRIO pour faire l'être parfait.
- Oui ! Mais en quoi notre invasion contrarie tels vos plants.
- HISTOIRIO veut installer son peuple ici sur la planète Terre, de plus HISTOIRIO est contre votre vengeance !
C'est la que j'entre en scène :
- Qu'est ce qui se passe ?
- Il se passe rien ! dit Safira toute estomaqué.
- Quoi la mort tu ne lui a pas dit ! Ricane Noémie.
Safira se retourne et lui mes un rover qui lui déboite la tête. Elle ajoute :
- Tais toi Xanien, qui veut envahir la planète terre ?
- Tu la mis où !dis je.
Une conversation s’engage entre Safira et moi.
- Nous sommes dans ton esprit.
- De quoi vous parlez ?
- Tu as écouté la conversation !
- Oui !
Je commençais à m’énerver.
- Bon je vais tous te dire.
- Dit lui que l'humanité va mourir ! s'exclama Noémie.
- Oui je tes mentie, en vrais je suis La Mort et j'ai été envoyer ici pour faire l'être parfait.
- Dit lui que l'être parfait va tuer l'humanité pour installer la population d'HISTOIRIO. Provoquât Noémie.
- C'est la vérité se qu'elle dit, dis je estomaquer
- Oui ! répondit Safira.
Ci vous voyez des fautes dites moi le, cela ne rendra que meilleur le livre.
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MessageSujet: Re: Spain-Doldo l'être parfait   Spain-Doldo l'être parfait Icon_minitimeSam 30 Avr - 13:56

Dans ton premier post , tu as marqué :" le reveil saunait " ( ligne 2 ). Du verbe sonner ? Si c'est ca , il n'y a pas un probleme dans la conjuguaison ? ^^
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MessageSujet: Re: Spain-Doldo l'être parfait   Spain-Doldo l'être parfait Icon_minitimeSam 30 Avr - 13:58

Ci merci!
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MessageSujet: Re: Spain-Doldo l'être parfait   Spain-Doldo l'être parfait Icon_minitimeSam 30 Avr - 15:22

Pour j'ai une faute que je vois dans tous tes posts : Ci mais Si
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MessageSujet: Re: Spain-Doldo l'être parfait   Spain-Doldo l'être parfait Icon_minitimeSam 30 Avr - 17:18

Tu peux me dire le jour et là ligne.
EDITE: les autres jours sont en cour d'élaboration.
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MessageSujet: Re: Spain-Doldo l'être parfait   Spain-Doldo l'être parfait Icon_minitimeMar 13 Sep - 7:38

Citation :
Le 4ème jour :
Le visage couvert de haine, je poursuis mes questions :
Mais pourquoi tu ma mentie ? répliquais-je.
Parce que tu aurais réagie comme ça, rétorquas Noémie.
Je me tais pendant un temps, pour faire retomber la rage. J’avais le souffle très rythmé.
C’est impossible, mais comment faire pour t’empêchais de détruire le monde ?
Il n’y pas de solution, vous devez accepter votre destiné, répondit Safira.
Le sentiment d’injustice m’envahie et je l’exposai :
Mais pourquoi nous ? Pourquoi vous n’avez pas prit les Xanien. Non !
Le réveille fut aussi brutal que rapide. Je devais me dépêcher pour m'habiller et pour pendre mon petit déjeuner. Puis on prit la voiture pour se diriger vers le lycée. Il était sept heures du matin et, la porte venait juste de s'ouvrir. J'étais le seul élève devant l’établissement.
Là Maxime arrive dans devant l'entré. Il se rapproche de moi. Il me serre là main, puis comme d’habitude une conversation s’installe :
Alors comment ça vas, après ta victoire Samedi ? Annonça Maxime
Je suis plutôt content de moi.
Oui ! C’est que tu nous sa fait une belle démonstration face à John Deod.
En effets même moi j’ai été surprit par ma performance, ajoutais-je.
Maintenant pour toi c’est tranquille tu es qualifié.
Je lui soumet une question :
Et pour toi tu comptes faire comment ?
J’attendrais le tournois sur synthétique, pour montrer toute ma puissance.
C’est vrais que le terrain synthétique, se prêt bien à ça.
On se bat avec nos armes. Comme toi avec ton amorti.
Je dévie le débat vers un autre sujet :
Alors ta rentrée en 1er ES ça c’est bien passer ?
Oh ! Comme d’hab que des nouvelles têtes, à par certains.
La d'autre élève entre dans la cours. Il était 7h25 un groupe se dirige vers moi. Alors avec Maxime on commence par partir du band sur le quel on était. Mais cela n'empêche pas les lyciens de venir et de me dire :
Oh ! Toi tu es l'un des élèves qui se sont fait invités à l'anniversaire de Noémie.
Oui !
Tu as dit aux flics, se qu'il avait comme autre personnes.
Non je ne connais personnes de classe je suis nouveau.
Ok !
La band fait demi-tour et rejoint leur place.
Maxime enchaine :
Quoi tu as été invité par Noémie.
Oui ! Elle a invité toute la classe de 1er S.
Mais il s'est passé quoi ?
C'est compliqué.
Et, alors j’adore quand c’est compliqué ?
Après cette phrase, je posai un temps de réflexion. Je ne savais pas quoi lui dire. Je regard ma montre, voir ci je pouvais me défiler. Mais le temps est un luxe que je n’ai pas. Alors je me tourne vers ça tête d’enfant model. En me frottant le menton je lui dis :
Il s’est passé un drame quelqu’un a disparut.
Mais de qui s’agit-il ?
Ma surprise fut totale devant cette question. Je lui répondis quand même :
Ben ! C’est s’agit de Noémie.
Mais comment cela est arrivé ?
C’est la que c’est compliqué, car je me souviens que d’une explosion. Après c’est le noir complet.
Maxime nous fait son traditionnel visage surprit, avec des yeux qui veulent sortir de leurs orifices. Pour rajouter des éléments de surprise j’ajoute :
Je me suis même fait interroger par la police, car je suis la seul personne. Qui est vue Noémie avant qu’elle disparaisse.
Ah ! Enfin la sonnette des cours, qui me sauve de ce sujet tabou. Les élèves se rassemblaient devant la salle ou nous allons avoir l’enseignement. En attendant l’arriver de la prof, on vit moi et maxime le débarquement des filles de la classe. Sur le coup je croyais que jamais ma bouche aller se fermer, tellement le spectacle était magnifique. En plus il fesait chaud, donc elles étaient encore pour la grande majorité en jupe. Là une douleur soudain et énervante me pris la tête. Comme ci un pic noir s’amusait sur mon crane. Je me retournai vers la porte de la salle. Le professeur de Français, qui avait la fâcheuse tendance détournait ses cours vers la philosophie, d’après les dires de Maxime. L’excuse qu’il avait été «  Je vous entraine pour l’année prochaine ».
Alors l’enseignante commence par un mot qu’il fallait définir de la manière la plus large possible.
Le mot :
L’amitié
Elle se construit par la connaissance de ses amis, puis elle se concrétise par la confiance. La connaissance et confiance on une graduation liée. Car au plus tu connaitras une personne plus tu peux lui accordais du crédit.

L’amitié s’entretient avec des prises de nouvelle régulière, après quelques preuves d’amitié peut perdurée dans la mémoire des protagonistes. Donc la prise de nouvelle peut devenir secondaire. Une preuve d’amitié est une concrétisation de la confiance. Elle peut se représenter par un service volontaire, par ça demande de service.

L’utilisation des amis est possible, cela s’appelle des relations. Parce qu’elles peuvent aider à la concrétisation d’un but commun, ou d’un but individuelle. Mais pour cela il faut faire preuve de persuasion.

Il existe plusieurs rangs dans l’amitiés, qui sont lié à la connaissance et confiance :
Une connaissance, qui va de la personne d’on ne connait juste le nom et le prénom, jusqu'à la fréquentation d’un soir.
Une relation comprend un individu qui vous a rendu un service, jusqu'à la relation de plusieurs jours.
Un ami est la concrétisation de l’amitié. Vous devez avoir tellement confiance en lui que vous pouvez lui confier votre vie. 
Extrait du dictionnaire philosophique de Spain-Doldo

La professeure nous montre les livres que l'on devra lire pendant l'année. C'est sur ces livres que nous serons interrogés. Les livres sont une porte ouverte sur l'univers de l'imagination. La culture et le savoir sont les cascades de ce monde. Elle enchaine sur le 16ème siècle. Qui fût interrompu par un bruit strident. La pause se fait sans Maxime, je pense qui est en sport, pendant deux heures. J'essaye alors une approche avec les filles du lycée. Une bande de copines qui avaient l'aire très liée.
Aller je me lance :
Bonjour les filles, je suis nouveau et je ne connais personnes. (je reconnais il y a mieux comme entré.)
Bonjour moi s'est Emmanuelle !
Elle était blonde aux yeux bleus tous le contraire de moi. Elle continue :
Je suis en première scientifique B.
Je réponds :
Ah ! moi je suis en A
Ok ! elle s'est Stéphanie, dit elle en montrant une fille châtain claire.
Hum, ajoutais-je.
Et elle est en première scientifique C. Valentine, elle change de fille, qui est en première économique et social A, Valentine était la seul fille du groupe à avoir des lunettes. Et pour finir Virginie qui est en 1ère ES C, virginie était une fille d'on le noir était très présent chez elle.
Pardonne j'ai oublié de me présenter, moi c'est Raphaël Morgan.
Emmanuelle avait une voie toute fluette.
Bienvenus Raphaël, tu viens d'ou ?
J'habite accoté de la défense.
Ah ! nous aussi.
Je me permets d’ajouter :
Je fais du tennis dans le club officiel de Lyon.
La Virginie intervient, alors une conversation s’engage entre moi et elle :
Oui, je tes vue samedi entraine de participé au tournoi sur terre battue. Tu là gagnais.
Oui, je l'ais remporté.
Tu as dût être opposé à John Deo.
Il était très difficile à battre, mais j'y suis arrivé.
Surprennent !
Malheureusement toute chose a une fin. Il fallait retourner en cour. Les maths m'attendaient, avec le professeur Alix. Le monsieur avait l'aire un peut enrober avec des cheveux coures. Il avait une chemise qui lui donnait un air décontracté.
Les maths étaient ma matière favorite avec S.V.T et le sport. C'était là ou je pouvais faire remonter ma moyenne.
Le professeur commence, mais une voie m'interpelle :
C'est moi Safira ! Il faut qu'on parle. Après ce cours tu vas dans les toilettes.
Je ne pensée pas qu'elle pouvait faire ça ! Cela voulait dire que quand je pouvais lui parler en pensant. Mais le problème c'est qu'elle sait se que je pense donc il est difficile de comploté. Ci il y a une possibilité de réussir, je la saisie.
Le professeur nous présent une équation du deuxième degré. Il explique ensuite la courbe graphique qu'on obtient. L'intérêt du graphique et qu'on peut voir ou la courbe atteint zéros. Mais par le calculer c'est plus compliqué. Car il faut d'abord passer par B²-4AC=Δ. Si c'est égal à un résultat positif, dan se cas il y a deux solutions.
Et si s'est égal zéros il y a une seul solution. Mais après l’annonce de Safira je n’arrivais pas me concentrer. Le cours s'achève de manière abrupte et je me dirige vers les toilettes des garçons. Là j'entre dans un cabinet, elle sort d'un coup de moi :
Raphaël il faut que tu control tes pensées, car si non tu perdras vite le control de tous.
Quoi ?
Exemple pendant toute la journée tu as pensé à ces filles, que tu trouves très belle, et que tu aimerais bien sortir avec. Alors arrête d'y pensé car au si non sa va se produire avec tous les conséquences qui s'en suit.
Quoi, tu veux dire que si je pense très for à quelque chose elle va se réalisé.
Oui ! Mais cela va amplifiés les questions des gens. Et la tu ne pourras pas garder tos secret très longtemps. Tu ne pourras pas contrôler indéfiniment les personnes.
Oui c'est bon j'ai comprit pas la peine de gueulé.
Je crois que sa se profile bien pour l'humanité, car si Safira n'arrive pas à mes faire employer ces pouvoirs comme elle le veut, alors je pourrais mener mon plan à exécution. L'aire a le parfum du pouvoir, de la puissance et de la domination. C'est bon de se sentir fort, de croire que tu peux changer le monde. Tu te sens important, et alors la tu m'éprise le moindre adversaire. On devient aveugle de sa propre ambition. Ton imagination s'emballe dans les possibilités que tu pourras faire. La ou tu vois un rêve les autres voies l'apocalypse.
J'entre dans la cour avec un pas d'empereur, je croie que jamais je me suis sentie aussi puissant.
J'avais oublie d'arrêté de pense aux filles. Alors qu'elle passe accotée de moi. Et mon meilleur ami et n'a plus de raison d'être. Je veux être seul dans ma grandeur.
Là un trou noir, puis une forte douleur sur la joue. J'ouvre mes yeux.
Raphaël le rêveur.
Tu m'as fait quoi ?
Tu croyais que j'allais te laisser réaliser tes rêves sans rien faire.
Mais il sait passer quoi ?
Il s'est passé que après notre conversation je tes laisser dans un rêve pour voir comme tu allés réagir après sa... Tu as réagie en parfait imbécile. On n'est pas la pour s'amusais comme dans l'un de tes jeux vidéo ou de tes films préférait. Ici on est dans là réalité, et tu ne peux pas décider de l'avenir des gens comme ça. Alors comporte-toi en adulte et non en gamin, à qui on vient de donner un nouveau jeu vidéo. Tu sais très bien ou tous cela va nous mener, car on plus tu manipule les gens aux plus tu as de change qu'on découvre tes pouvoirs.
Je range mon orgueilleux dans ma poche, et sortie des toilettes. Je me senti comme un enfant qu'on venait de punir. Le calme me revient est là sérénité s'impose. Je me rendais compte que pour bien maitriser ma penser, il fallait regarder méditer et regarder les choses d'une autre manière. Safira m'aide à contrôler mes pensées. C'est le début de notre collaboration. Car j'avais trouvé une solution pour nous exprimer sans faire de dommage. Il suffisait de le faire dans un rêve. Il fallait passer à autre chose. Je me diriger vers Max en espèrent qu'on pourra entamer une conversation. Mais de quoi veux tu que parle deux adolescents ? C'est inévitable !

Je me devais de commencer une conversation sur autre chose.
Maxime alors tu as fait quoi se matin en sport.
On a fait du foot, et on a perdu.
Ce n'est pas grave.
Non c'est la manière qui ne m'a pas plu. Parce qu'ils ont étés irrégulier dans l'engagement physique. Ca serait bien si tu pouvais changer le monde.
Les injustices ne peuvent pas tous être réglé, car se sont les injustices qui fonde le homme que tu seras.
Hum ! Toi et tes principes. Tu ne changeras jamais Raphaël, je crois que c'est ta plus grande qualité.
Tu crois que c'est une qualité.
Tu verras bien avec l'avenir.
La cour suivant est annoncée. L'histoire nous était présentée avec le professeur Silo. L'histoire devient très ennuient, car à partir de la 3ème on te rappelle les mêmes choses. Il ajoute juste des détaille. Puis on se souvient du passé pour éviter de refaire les mêmes erreurs, mais on les refaits. Car on sait se qu'il y a, mais on ne sait pas pourquoi il sait passer ça. Il peut se repasser les mêmes choses temps qu'on ne sait pas l'origine.
On passe vite fait se cours. Pour s'attardé sur le repas de midis. On avait salade, maïs, poursuivie de cordon bleu avec pattes et pour finir un yaourt. La récré qui le suivi était là pour digéré.
Après il me restait 3 heures de cours. Cà commence avec Math et sport pendant deux heures.
Le sport qu'elle magnifique moyen d'expression. Là je pouvais un peux me défouler. Surtout que le sport pratiqué était le rugby.
La fin de l'école et de la pression. Mais j'avais oublié qu'Emmanuelle prenait le même bus que moi.
Je me dirige vers elle. Je lui tape sur l'épaule.
Salut sa vas ?
Oui sa vas ? C’est vrais on prend la même ligne. Mais il y a aussi Virginie.
Elle me fait un coucou, avec la main et viens nous rejoindre. Là Safira me rappelle que je joue avec le feu. Mais je croie pour elle on peut se permettre d'y jouer.
Alors tu as fait quoi de bon, m'interrogea la blonde.
On va dire que j'étais content de ma prestation au rugby.
Emmanuelle m’envoyât une remarque :
C'est vrais que les hommes se vente de leurs exploites sportif.
Ca s'est vrai ! s'exclama Virginie.
Et alors j'ai bien le droit de me défendre, le fait que je suis un homme.
Très bonne défense Ah ! Ah ! Ah !
De toute façon vous chercher un homme, pas une femme.
Dés fois on cherche les deux, enchaina Emmanuelle.
Le bus s'arrête et les filles me suivent. Virginie fut la première à rejoindre ça maison.
Mais Raphaël tu habites lion du terrain de tennis.
Non regard.
Je lui montre ma maison
Et toi !
Moi je suis plus loin, si tu veux un jour je te montrerais.
Maintenant !
Elle me dit avec entonnement :
Tu veux ?
Ma réponse fut rapide et nourrit d’une envie folle.
Oui !
Elle va répondre quoi, pensais-je comme si je n’y croyais pas ?
Bon aller !
On marcher pendant quelques mètres. Là en face de nous un homme, en mentaux noirs se dirige vers nous. Le personnage mit sa main sur mon torse et m'arrête. Emmanuelle le regard d'une haire agressive. Il prononce quelques mots :
La fille, tu te casses.
Là je compris qu'il n'était pas clair. Je décidais de faire appelle aux pourvoir de La Mort.
Je retire son bras et j'enchaine par un coup de poing dans son ventre. Il fait un tour sur lui même et me répond avec son talon en pleine tête. Cela me plaquât contre la grille de la maison d'Emma. Il prit mon col. Il prononça :
Ta copine ne m’a pas m'attendu, je lui et dis de partir.
J'enchaine :
Il à raison va prévenir les flics.
Voilât elle de là zone dangereuse, mais pour moi il était toujours présent :
Ecoute moi bien gamin tu vas me dire ou tu as caché Xéna Xanien ?
Tu peux te gratté !
Comme tu oses me parler ! Moi Brattack lieutenant d'arme de Xéna.
Il sort de sa main une épée. J'en profite pour disparaitre. Je fais entrée en jeu Safira. Je pense et elle agit. On avait réussie une parfaite fusion. Car avec juste quelque téléportassions on l'avait touché au visage.
J'ajoute :
J'espère que tu sais à qui tu as faire.
Ne te soucie pas de moi !
Il rejoint ces deux mains. Il forme une sphère bleue autour de lui. La boule se dirige vers moi. J'essaye de l'arrêter avec mes poings. Cela fit disparaitre la sphère pour faire place à rayon, qui m'avait attient en pleine poitrine. Il réalisa un enchaînement pieds mains qui me propulse. Je me relevais difficilement. Il m'achève avec un coup droit en pleine joue. La Mort prit la suite. Elle se pose et pousse un cri, qui a eu pour effet de déchirer mes vêtements, des cristaux noirs se forme un peut partout sur notre corps. Brattack ajoute :
Je suis honorais de voir la forme finale de La Mort.
La phrase était déjà finie que Safira se dirige vers lui et le harcèle de coups. Voilât ce math se fini aussi vite qu'il avait commencé. Safira l'avait touché à la tête. Il meurt allongé sur le sol. On avait décidé de ne rien faire, car la population devez être au courant. Ci la population est mit au parfum alors on recevra de l'aide d'Histoirio.

Je regagne ma maison en changeant de forme. C'était compliqué de faire comme si de rien été. Mais s'était vital pour garder mon secret. Le temps passât vite avec un repas finit comme Orque, parce que mon ventre me criait famine et après un film du soir. Mon lit eu droit à l’éffondrement de ma masse sur lui.

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MessageSujet: Re: Spain-Doldo l'être parfait   Spain-Doldo l'être parfait Icon_minitimeMar 13 Sep - 7:56

cool ^^
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MessageSujet: Re: Spain-Doldo l'être parfait   Spain-Doldo l'être parfait Icon_minitimeMar 13 Sep - 8:39

je les lirai plus tard Wink
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MessageSujet: Re: Spain-Doldo l'être parfait   Spain-Doldo l'être parfait Icon_minitimeMer 14 Sep - 14:48

bon courage
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MessageSujet: Re: Spain-Doldo l'être parfait   Spain-Doldo l'être parfait Icon_minitimeVen 9 Mar - 22:24

Citation :
Le 5ème jour
Un mal de crâne me prit dés le lever du jour. Je me demandais si Xéna aller me réserver d'autre surprise. Puis un moment de silence se pose sur ma chambre. Je me retrouve enfin seul avec moi-même. Je prends se moment de liberté. Je me lève, j'enfile mon pantalon, un pull et mes chaussures. Je descends les marches de l'escalier qui me mène vers mon bol. Les tartines aux beurres que je me fais, on le gout de l'habitude. La routine de mon quotidien qui va être déranger par ma nouvelle vie.
Je pouvais sentir le réveille de Safira a l'intérieur de moi, et en même temps voire ma mère arriver. C'est fou comme les gens ignore se qui est devant leurs nez. Cela me fait à une image, d'un gamin seul dans la récréation et dont son crie de détresse et étouffé par les autres. C'est fou comme la solitude peut vous faire oublier les autres.
Je me glisse dans la voiture et continue à rêver à travers la vitre. Je ne vis pas là longueur du trajet.
Maxime était là sur le ban entrain de m'attendre. Mais avant je devais aller voir Emmanuelle. Elle était assit sur une marche avec une tête des mauvais jours. Alors je luis posa la question fatidique :
- Alors Emmanuelle tu as prévenue les flics ?
- Non mais de quoi tu parles.
Cette phrase me fit un choc dans ma cervelle. Il faut croire que je n'avais pas prévue ça.
Je me rendis tous estomaqué. La Maxime m'interrogea :
- Sa va Raphael qu'est ce qu’il y a ?... Tu t'es rendus conte que tu étais beau !
Maxime il faudra un jour que tu comprennes que tes blagues, des fois ce n’est pas le moment.
- Non juste un imprévu.
- Un imprévu avec les filles ? Ah ! Mais tu n'as pas l'habitude.
Je reconnais bien là Maxime qui fait les questions et les réponses. Comme s’il savait que le sujet était tabou. Alors je lui répondis :
- Je crois que l'habitude n'est plus d'actualité dans ma vie.
- Raphael tu es bizarre !
- Tu crois quoi je suis unique ?
- Ca s'est sur et heureusement !
Je devais savoir se qu'Emma avait fait après l’intervention de Brattack.
- Oh ! Raphael, Maxime appelle Raphael.
- Oui !pardons !
- J'espère que tu ne vas pas oublier que tu as un ami.
- Non !
- Alors c'est quoi se truc de me posé un lapin, je te signal que t'es attendu devant chez moi.
- Ah ! Oui ! Pardon j'ai oublié ! J'ai été retardé par un soucie.
- Une soucie avec les filles ?
- On ne peut rien te cacher, dis-je avec un voile d’hypocrisie.
Mentir, à son propre ami ! J’en avais honte d’être réduit à ces extrémités. Il insistât encore !
- Attends ! A la prochaine tu me dis tout.
- Ok !
Je retrouve ma classe, le coure de maths avait débuté. J'avais un drôle d'impression de déjà vue quand le prof parlait. Je pouvais prédire les phrases qu'il allait dire et se qu'il allait faire. C’était une rediffusion que je voyais. Le mot bizarre s'imposait dans cette situation. Les cours devenaient ennuyeux. Le temps passait lentement, les minutes paraissait des heures. La fin de l'heure s'annonça et me soulager.


Les cours s'enchainent toujours avec cette vision de flash bak, sauf le cour de français qui m’avait marqué par son du jour celui de l’Amour :
L’amour
L’amour, qui a pour origine un rapport sexuel. Il se distincte de l’amitié par la fréquence des rapports et leur régularité. L’amour doit et ce concrétise par faire l’amour. Il s’agit de réalisé les sentiments que l’on exprime en vers autrui. Mais comme dans l’amitié il y a plusieurs niveaux dans l’amour. Il y a celui d’aman ou de maitresse. Qui ne concerne uniquement une relation sexuel, avec juste quelque brin de confiance pour ne pas dévoilé cette relation au grand jour. Pour finir l’amour, qui répond à la définition folle de sacrifice. En effet pour l’amour de ça vie on lui donnerait notre vie. Certaines personnes trouvent aussi que la plus belle des morts est celle qui intervient après l’amour.
Extrait du dictionnaire philosophique de Spain-Doldo
Je pense que Safira n'était pas innocent. Je m'élance vers Emma pour résoudre un problème. Je là tape sur l'épaule pour avoir toute son attention :
- Emmanuelle ! Salut sa va ?
- Oui !
Elle m’avait répondu avec la vitesse d’un guépard et la rage d’un tigre. Mais je continuais timidement :
- Tu pourrais me rappelais la soirée de hier je ne men souvient plus.
- Tu ne te souviens pas ! Tu m'as dit de prévenir les flics seulement quand ils sont arrivé il n'y avait rien même pas toi. Résultat je suis passé pour une conne.
Ces copines me regard comme des M16 charger à bloque.
- Je suis désolé pourtant après avoir battue le mec je vous lavez laisser.
- La prochaine fois assure toi qu'il y reste. Car je me suis retrouvé stupide, quand la police a vue le vide.
- Pardon !
Je crois que laisser sur le carreau est l'expression qui convient. Je me trouvais très bête car j'aurais dût prévoir que les Xaniens ne prendrais pas le risque d'être découvert. Je suis désolait j'ai faillit à ma tache. Moi qui voulais devenir un héros, je ne suis pas même capable de donner des preuves à la justice. Il me vient une idée, je devais agir dans la discrétion pour être un justicier, car incise j'assure mon secret et aussi la vie des gens.
Il est inévitable de commettre des erreurs si on veut apprendre. Mais cette faute sera la dernière, je te promets Emmanuelle. Je ne serais pas de ces gens qui ne tiennent pas leur promesse, parce que moi j'ai les moyens de les tenir.
C'était là première épreuve de ma grande marche vers mon avenir. On n’aurait pu croire ça me ralentie dans mon parcoure, mais non c'est un coup d'accélérateur dans mon n'esprit. Il m'en faut plus pour me faire renoncer. Car je me battrais jusqu'à mon dernier souffle. Je me battrais pour l'humanité, pour mon espèce. Même si cette espèce n'est pas la meilleure, mais c'est la mienne. Mon rêve est un monde parfait, harmonie entre l'humain et la nature.
L'humain est une espèce compliqué par ça diversité d'information. On peut apprendre plein de chose en vivant avec eux. La seule chose qu'ils sont oubliés c'est leur rôle dans la nature. Ils ont oubliés de penser à l'environnement. On n’y pensait plus parce qu’on avait dépassé la nature, plus de prédateur, plus de limite territorial et de limite dans notre puissance. Cela est là force de l'évolution qui a fourni une espèce, et qui ne crains pas les tempêtes naturel. Qu'est ce qui pourra les arrêter ? La réponse est eux même !
La réalité me fit descendre de mon nuage. Ma tête était très libre. L'heure de manger me soulagé l’estomac. Dans ma vie j'étais souvent seul, cela ma donner le temps de pensée et de rêver.
Le cours suivant était l’SVT, le cours qui était pour moi le plus intéressent était devenu une vulgaire répétition. Ce pourvoir commencé vraiment à m'énerver. Il fallait vite que je parle à Safira pour me débarras de se truc avant qu'il ne pourris ma vie. Je restais là devant le prof sans aucune réaction. Il disait tout se que je savais déjà. Cela donner un gout amer à tout. Il faut se dire que c'est juste un mauvais moment a passé. J'interroge par la penser Safira. Mais il se trouve que se n'est pas elle qui est en cause. Je fus étonné de cette réponse. Cela ne pouvait dire qu'une chose. Il y avait en moie une personne avec des pouvoirs. Bien sur ma pensé aller vers Noémie, qui avait élut domicile en moi après notre affrontement. Mais là encor ce n'est pas elle, car elle ne pouvait pas utiliser ces capacités sous l'emprisonnement de La-mort. Le mystère resté entier. Intriguant d'ignorer la source de se pourvoir.je vis naitre des interrogations dans ma tête. Qui était derrière tout ça ? Cette personne était là pourquoi ? Qu'elle était son but dans la vie ? Il sera difficile de répondre à toutes ces questions, et pourtant il faudra bien. Car sa pourrait entravait ma mission de sauver le monde. Où peut être qu'il va m'aider dans cet objectif. Enfin une inconnue dans cette journée écrit d'avance.
L'école était finie et il était de mon devoir de me réconcilier avec Emma. Il faut que je me lance. Le bus bougé à droite à gauche. Dans c'est condition s'approcher d'une fille en toute discrétion c'est mission impossible. C'est là qu'on me tape sur l'épaule. C'était Virginie :
- Alors comme ça on abandonne les filles ?
- Non, j'ai juste paniqué quand, l'homme ne bouger plus.
- Et maintenant tu veux te faire pardonner pour cette conduite.
- Oui !
- Je comprends, mais sa va être dure de regagner sa confiance et de faire comme ci rien ne c'était passé. Surtout qu'elle là prit très mal.
- Je n'ais pas assuré !
- C'est vrai que tu aurais put faire mieux pour la draguer.
- La draguer !
- Arrête de faire l'innocent je t'ais vue la maté avec ton copain.
- Je suis pris sur le faite.
- Je dirais que tu es perçais à jour.
- Mais qu'est ce que je dois faire pour regagner son amitié.
- Tu sais dans ces cas là le temps fait des miracles.
- Quoi tu veux que je ne fasse rien.
- Il faut lui laisser rentrer son amertume. Quand elle aura oublié là tu pourras y aller.
- Super !
- Si non tu fais quoi se soir ?
- Je serais avec Maxime, entrain de jouet aux jeux vidéo.
- Ah ! Il s'appelle Maxime ton pote.
- Oui !
Le bus actionne ces freins, un petit pas en avant, me permet de rétablir mon équilibre. J'ai un peut bousculer Virginie. Mon regard se place sur la place d'Emma, mais elle n'était pas là. Finalement se fut la brune ténébreuse qui m'accompagne jusqu'a chez moi. Même si cela lui rallonge son parcoure. Je ne pouvais pas m'empêcher que Virginie me manigancé quelque chose. Devant ma porte là il y avait Max.
- Enfin tu en as mis du temps. C'est parce que tu te fais raccompagner par une fille.
- Oui !
On se frotte les chaussures sur le tapis. On pousse la poigner et nous voilât dans ma demeure. Le marche se franchi avec un silence pesant. Une fois arriver dans la chambre, les questions arrive.
- Alors dit moi tout !
Tout d'abor je lui présente Safira. Avec la superbe rentrée en scène par le ventre. Sur le coup j'ai cru qu'il allait vomir. Mais la beauté de la fille lui fit une autre préoccupation. Safira s'a dressa à Max :
- Bonjour je m'appelle Safira.
Je crois que je n'ais jamais vue bouche aussi ouvert que celle de Maxime a se moment là. Il fallait dire qu'elle avait sortir le grand jeu. Elle avait une robe noire avec un décolleté à faire déboiter les mâchoires.
- tu as sa en toi ? dit-il avant de tomber dans les pommes.
Je me précipite sur lui, pour le réveiller. Quand il ouvre les yeux il s'exclame :
- Non ! Je voulais que sa sois Safira qui viens à mon secoure.
- Monsieur est dégouter que technique de drague n'est pas marcher, répliquais-je.
On s'assit tous les trois sur mon lit. Je croie que jamais pendant toute mon amitié, maxime ne m'avait oublié comme ça. Les filles vous faite des vrais ravage. J'ai donc laissé Safira lui expliquer l'histoire depuis le début puisque monsieur aux yeux rivait sur elle. J'étais un peux hériter de l'attitude de Safira. La jalousie commencé à naitre en moi. Au moins, s'est sur qu'après ça, on pouvait faire confiance à Maxime. Je croie même que c'est pour ça qu'elle s’est si bien habillait. Où elle voulait se rassurer sur sa beauté. Enfin c'est compliqué les filles.
Moi j'avais acte que sa se finisse car il me tardé d'être un héro et de me servir de mes pouvoirs, et avec un peut de chance on attraperait un complice Xanien. Je voulais en découdre avec les méchants. Parce que pour l’instant ma force n'avait servie à rien devant les ennemies. La-mort avait toujours finis le travaille ! Si je voulais tenir ma promesse, je ne pouvais pas m'appuyer que sur elle. Je suis Raphaël Morgan un homme qui s'était donné comme objectif de sauver l'humanité, et pour le moment je ne suis même pas capable de tenir un combat. Mon regard se fixa sur la fenêtre. Il me suffisait de la franchir pour voir de quoi je serais capable. Ma décision était prise je ne fais plus machine arrière. Je n'ai plus peur, de la douleur, de la mort tout ça c'est pour les faibles. Je croie que j'ai même surprît Safira quand j'ouvrir la porte de ma destinée. De toutes les façons elle avait fini la conversation. Il suffit d'un instant pour que l'on fasse plus qu'un.
Mes yeux émerveillaient sur la beauté de Lyon là nuit. Le vol de toit en toit devenait agréable. Le frisson qui parcoure tous mon corps, quand tu senti qu'on appela à l'aide. Le temps qui se stoppa en même temps que toi. Les yeux s'arrêtaient sur l'agresseur. Une femme se fessait violet, elle se tenait là coincé dans l'angle de la rue. Je commençais l’analyse de la situation. Puis je passai à l’action, ma main déposa sur son épaule, et avec l'autre je le frappai juste quand il a fait pivoter sa tête. Je me souviendrais toujours de sa réaction. Un moment de silence et là le rover de mon adversaire, je croie que je l'ai sous estimer ! Un grand adversaire impliquait un grand combat. J'y retourne avec le poing devant. Il esquivait et avec son gauche il me coupa le souffle. Après il fit un éco en moi « pathétique ». Je ne pouvais que rester là à genou attendent le jugement final. Je ne suis pas le sauveur, je ne suis pas un héro ? Je n'ai rien de particulier. Sa main se pausait sur mes cheveux et me rapprocha de son pied. Je fus projeté d'un mètre. Ma vision était claire maintenant je devais mourir ici.
- Raphael regard se que tu es devenue !
Safira me parle dans ma tête. Elle continue.
- Arrête d'avoir peur embrasse la peur et batte toi jusqu'à ton dernier souffle. Tu veux sauver cette femme ! Alors lève et montre lui que c'est toi La-mort.
Le déclique se fut dans mon cerveau. Je me mis debout et je me dirigeais sur lui en disant « la-mort ». Le premier coup fut esquiver mais pas le deuxième. Je déclenche alors un troisième coup avec mes pieds. Une lumière blanche m'envahie. J'étais devenue une silhouette d'homme sans couleurs, vierge et immaculé. L'homme fut terrorisé, la peur le paralyser. Il avait la tremblote. La situation avait été inversée. Mais se que je ne comprends pas, c'est que pour un homme normal je pouvais exprimer mon potentiel alors que pour des extraterrestres, je ne pouvais pas. Je suppose que les interventions de mon parasite y est pour beaucoup. Je me rapproche de l'homme et je lui ordonne de partir. Il ne se fait pas prier. Il fait juste quelque pas et là, il se fait décapiter. Safira l'avait achevé sans aucune pitié. Le sang de la tête commencé à s'étendre. Pourquoi elle avait fait ça ? Elle voulait peut être ne pas laisser de trace. Dans se cas qu'est qu'elle va faire de la femme. Je pouvais entendre les larmes et le crie de son âme. Elle était innocente, elle ne pensé pas qu'elle verrait ça. Son regard refléter l'horreur.
- Pourquoi tu as fait sa ?
- Tu espérais qu'il aller faire quoi en sortant de cette rue. Tu es trop naïf et innocent. Tu n'as pas assez grandie. C'est en fessant des erreurs comme ça que tu risques de perdre toute chance de garder ton secret. Je te l'ais dit, il faut rester discret.
Je n'eu même pas le temps de reprendre mon soule que la fille derrière moi, se fait tué. L'illutions est fini. Une vague noire envahie le monde. Elle vient sur moi et me touche.
Je me levai de mon lit. Tout se si n'était que vent. Seule mon apparence ne changea pas. J'étais toujours blanc avec une silhouette d'homme. Safira était sur moi, puis elle prononça :
- Voilât comment on va faire pour rester discret.
- Quoi ? Tu veux que tous les soirs je rende la justice dans un monde virtuel.
- Je savais que tu réagirais de cette manière la. C'est pour ça que je te suis laissé croire qu'on allait réellement rendre la justice. Il fallait te maitre devant le faite accomplie. On ne peut pas devenir des héros.
Elle m'insupportait dans ces manières.
Mais il fallait bien admettre qu'elle avait raison, sur tous les plans. Je ne pouvais pas sauver les gens tous en gardant mon secret et je n'aurais pas accepté cette idée si elle m'en avait parlé. Voilât se qui en coute d'être têtue.
- Mais c'est quoi ça, en désignant ma tunique blanche.
- Je connais une seul personne qui a le même pouvoir c'est Histoirio.
La panique m'envahie.
- Histoirio comment ça ?
- Je ne sais pas !
- Mais comment c'est possible !
- Tu te calme cela ne va pas dire qu'il est en toi.
- Ok !
J'essaye de me calmer, car déjà qu'il y a Noémie, Safira. Je n'ai pas envie qu'une autre personne soi en moi. Surtout vue que Histoirio veut détruire l'humanité, je n'ose pas imaginer se qu'il fera si il me contrôlait.
La lueur blanche faiblie et finie part me donner mon apparence originelle.
Safira reprit :
- Si tu as les même pouvoirs cela veux dire que tu serais mon frère.
- Moi ton frère !
- Finalement tu ne te connais pas si bien que sa !
- Oui ! Je suis surprennent.
- Raphael ferme les yeux je dois vérifier une hypothèse.
Je les ferme et là un noir me prend.
Safira avait envoyé un violent coup à Raphael se qui là mit littéralement parterre. Là sa silhouette blanche réapparait. Il parle en premier.
- Tu veux quoi grand sœur ?
- Tu es qui ?
- Je suis un clone d'Histoirio, car il voulait faire une femme a partir de son ADN, mais il n'obtenue que moi.
- C'est vrai qu'il se trouve seul.
- Pourtant il en a crée des choses.
- Je sais ! Mais jamais se qu'il voulait plus que tous aux monde.
- Tu parles d'une femme.
- Oui !
- C'est pour ca qu'il veux faire SPAIN DOLDO l'être parfait c'est le projet de toute une vie pour lui.
- Je comprends mais je pense qu'il va être réduit à néant pas Raphael.
- Non ! Il ne peut pas faire ça !
- Il ne se gênerait pas, il veut sauver l'humanité aveuglément.
- Mais pourquoi cette espèce est cruelle, perfide et proche de l'autodestruction.
- Comme toute les jeunes espèces. Ne juge pas trop vite Raphael. Il peut encore nous réservé des surprises. Mais comment un tu es arrivé ici.
- Histoirio ma laissait a l'abandon et Raphael et le seul être qui pouvait m'accueillir.
- Surprennent !
- Et c'est à cause de toi qu'il a un grand esprit.
- Je ne sais pas !
Safira change de conversation :
- Mais il faut le dire à Raphael que tu es là et qui tu es.
Je crois qu’il ne va pas supporter mon existante en lui.
Elle remuât la tête enfin d’articuler :
- Il y a d’autre divinité dans cet être ?
- Je ne pense pas, les lieux mon semblait étrangement libre quand je suis venus. Cela n’explique pas pourquoi un humain pouvait m’accepter. Je suis sûre qu’il a quelque chose d’unique en lui. Après je ne serais pas te dire quoi ?
- Si des femmes peuvent accueillir une déesse, alors un homme pourrait lui aussi recueillir un dieu. Le problème est l’accumulation de divinité dans cette structure. Non, se n’est pas normal cette capacité, il doit avoir quelque qui permet cet injection.
Elle coupe son discours pour fixé le clone d’Hitoirio. Puis elle poursuit avec insistance la conservation :
- Tu annonceras ton existant à Raphaël, qu’après avoir identifier la chose unique. Car il renferme une chose, qui lui permet ces capacités. Ils nous faut trouver avant d’avancer dans l’entreprise Spain-Doldo.
- Oui votre majesté, tel sera vos ordres.
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